«Unissons nos forces et nos talents

pour construire l’Avenir de Porcheville»

 

 

Mai 2017

Publié le 05/05/2017
 

Porcheville : la centrale EDF, c’est fini !

 

"Clap de fin pour la centrale EDF de Porcheville. Les quatre unités de production électrique de cette centrale à fioul ont été mises à l’arrêt définitif le lundi 1er mai 2017.

Ouvert en 1968, le site industriel, reconnaissable par ses deux imposantes cheminées de 220 m de haut, ne fournira plus d’énergie. L’information a été donnée aux représentants du personnel il y a quelques jours lors d’une réunion interne. Il n’y a pas eu de déclaration officielle sur le sujet.

 

Cette annonce vient conclure une série d’annonces contradictoires d’EDF. Selon la direction, le site devait initialement fermer ses portes en 2023, puis en 2018… pour, finalement, cesser son activité ce 1er mai.

La direction de l’opérateur public n’a pas pu être jointe ce lundi pour s’expliquer sur l’accélération inattendue du calendrier. Mais cette fois, elle ne devrait pas revenir sur une décision motivée, sur le fond, par des questions de coûts. Cet équipement vieux de presque cinquante ans était essentiellement utilisé « en appoint », c’est-à-dire pour assurer la fourniture d’électricité lors des pics de consommation d’énergie, en cas de fortes chaleurs ou de grands froids.

 

Selon des salariés travaillant sur place, l’activité était réduite depuis plusieurs mois et une grande partie des 200 employés ont déjà été reclassés. Il ne devrait pas y avoir de licenciements. Mais les sous-traitants d’EDF devraient forcément pâtir de cette situation.
 

La question se pose désormais sur l’avenir de ce site de 120 ha, situé à moins de 50 km de Paris et à deux pas de l’A13. Elle devrait occuper les élus, les décideurs locaux et les syndicats de l’énergie pendant les prochaines années..."
 

Extrait du Parisien du 01/05/2017

 

                      Plan de relance autoroutier
                            AUTOROUTE A13
    Création d'un 3ème tablier au Viaduc de Guerville

Source plaquette SAPN
 
"Ce ne sont, pour l'instant, que quelques centaines d'arbres arrachés le long de l'autoroute A13, à hauteur de Mantes-la-Ville. Mais l'opération de déboisement cache un chantier titanesque sur l'axe Paris-Normandie.

La Société des autoroutes Paris-Normandie (Sapn) a lancé officiellement la construction d'un nouveau viaduc à hauteur de Guerville. Cet ouvrage viendra compléter les deux autres déjà existants et qui supportent les six voies de circulation.


Les travaux sont prévus pour durer six ans.

Pourquoi un nouveau viaduc ?
Les six voies actuelles, posées sur deux viaducs, nécessitent une profonde rénovation. Mais comment mener un chantier aussi lourd et aussi long sans perturber la circulation sur cet axe stratégique, fréquenté par 120 000 véhicules quotidiens ?

A cette question, la Sapn propose une réponse étonnante : il faut construire trois nouvelles voies, donc un nouveau viaduc. Ce dernier accueillera les voitures pendant les travaux sur l'un puis l'autre des deux autres viaducs.

Ces trois nouvelles voies seront conservées. Elles permettront l'élargissement définitif de l'A13 qui gagnera une bande d'arrêt d'urgence dans le sens province-Paris et une voie supplémentaire vers la province.

Quel est le calendrier ?

Les travaux de déboisement se sont terminés fin mars 2017. La construction du viaduc a débuté dans la foulée. Ces travaux lourds dureront quatre ans. Ce nouvel ouvrage, long de 360 m, entrera en service en 2020.

Les ouvriers s'attaqueront alors au cœur du chantier : la rénovation des six voies actuelles. Ces travaux dureront environ deux ans et devraient être achevés en 2022."
"Le nouveau viaduc sera construit à côté de celui existant.

Il comptera trois voies et sera destiné aux véhicules circulant vers Paris.

La circulation sera-t-elle perturbée ?

C'est l'interrogation numéro 1 des automobilistes. Si l'on en croit le gestionnaire autoroutier, « la circulation normale sera garantie » jusqu'en 2020.

De 2020-2022, au moment des réfections de voies, il faudra s'attendre à des perturbations du fait des basculements de circulation."
 
 



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